Il y a une école dont parle un collègue, située au coeur d'un parc où j'aime bien flâner l'été lors de mes jours de congé, avec un bon roman, québécois de préférence. C'est un endroit qui inspire la culture et le développement. La nature, la beauté et la musique. C'est quasi magnétique. Ils viennent chercher mes élèves dans mon école aussi. Je sais, je m'approprie ce qui ne m'appartient pas. Ne venez pas me dire qu'elle n'existe pas. Encore une qui partira cette année. On peut subventionner une fondation sans directement subventionner une école. On subventionne la particularité de la vocation alors que seulement la moitié est utilisée à ces fins. Je me questionne sérieusement sur la méthode de sélection lorsque j'entends mes élèves avec leur prof de musique. Pourtant, qui suis-je? Je n'ai pas un blog sérieux en éducation. Moi aussi je fais de la fiction. Mais qu'est-ce qui ou qui est-ce qui empêche l'école d'accomplir sa mission, sa vraie vocation?
mercredi 21 novembre 2007
jeudi 1 novembre 2007
Sommes-nous le chien de quelqu'un?
Vous êtes le chien de qui?
Trop de paroles, trop d'efforts déployés pour nous faire avaler la raison d'être des élections scolaires qui n'en est plus une, mais l'a-t-elle déjà été? Forcée de constater que le mordant n'y est plus. Aboyez tant que vous voulez, vous pouvez continuer de japper en voulant nous mettre cette laisse au cou. Si nous avions le réel choix d'une laisse, je prendrais celle qui nous attache à l'école. Élections, oui ou non? La population vous a dit non!
Pour que le message soit clair, je vous invite à annuler votre vote au lieu de ne pas voter car certains croient que le fait de ne pas se déplacer n'est qu'une conséquence de notre manque d'opinion collective. Si l'école nous était confiée, nous, la communauté, nous pourrions utiliser les mêmes tribunes et se vanter d'avoir du chien.